TEDx La Rochelle

Stéphane Mallard

C’est l’histoire d’une découverte incroyable, d’une guérison et d’une révolution. C’est aussi une bagarre contre l’ignorance, les préjugés et le mépris.
C’est enfin un message d’espoir.

Vingt ans d’alcoolisme vaincus en 45 jours de traitement sous Baclofène. Stéphane Mallard raconte en toute liberté son médicament, sa honte, sa peur et sa délivrance.
Son retour parmi les vivants.

Stéphane Mallard est né il y a 53 ans à La Rochelle.

Familier des odeurs de bois et de résine qui imprègnent les murs du chantier naval familial, nourri au beurre salé et au clapot des pertuis, il navigue entre les établissements scolaires et sa passion pour les bateaux, les images et les sons.

Au début des années 80, les vents sont porteurs. Les caméras vidéo grand public sont disponibles, les radios libres et locales dressent leurs antennes et se bousculent dans le paysage. Tout devient possible.

Il met les voiles, cap sur Paris et le bouillonnement de la bande FM encore pleine de promesses et d’opportunités. Les premiers micros, les premiers studios, les premiers reportages, et bientôt la carte de presse.

Le jeune journaliste, généraliste et polyvalent, tourne en 1985 autour de la « grande maison ronde », avenue du président Kennedy sur les bords de Seine. La Maison de la Radio. Il rêve d’y porter sa voix et cherche la porte d’entrée. Il finit par la trouver et va y faire ses classes.

Pendant une quinzaine d’année, sur France Inter, il reporte, chronique, anime. Puis bientôt la télé et les grands reportages des magazines d’information.

Nouvelles technologies, nouveaux paysages, nouveaux usages… aujourd’hui, c’est sur le web que les écrans se réinventent et convergent. Un nouveau terrain de jeu et d’enjeux qu’il investit en fabricant toujours des images et des sons. En développant aussi des parcours de formations en ligne au sein d’une entreprise à La Rochelle dont il est gérant depuis un an.

C’est aussi le retour au port d’attache. Au beurre salé et au clapot des pertuis. Une histoire d’ancrage. De racines qu’on n’oublie jamais tout a fait.

Ressources et liens :

Sylvie Tallon

Et si on ralentissait ?

Sylvie gère un studio de conseil. Elle pratique également le yoga depuis plus de 15 ans. Elle partage aujourd’hui l’expérience de cet art de vivre en donnant des cours et en réfléchissant à la portée de cette philosophie sur notre quotidien.

Elle a écrit notamment un essai sur la lenteur et sur notre rapport au temps qui passe..

Sylvain Beaulieu

« A 26 ans, j’ai perdu la vue suite à une maladie génétique.
Malvoyant, j’évolue dans un univers de brume perpétuelle, distinguant
à peine mes doigts si je tends le bras. »

Après une formation en Lettres Modernes, Sylvain Beaulieu s’est intéressé au cinéma, et a participé à plusieurs court-métrages.
Il écrit en ce moment son premier long métrage, « Contre toute lumière ».
Il a joué dans plusieurs pièces de théâtre, et suit des ateliers de formation au personnage du clown.
Membre fondateur de la toute jeune compagnie « Les passeurs pas sages », il joue au Théâtre de l’Entresort « A la vie, à la mort ! ».
Il anime, en collaboration avec Marie Diagne, des ateliers d’audio-description en milieu scolaire.

Corentin Houdaille

Corentin Houdaille découvre la BeatBox sur YouTube il y a 5 ans.

Il s’entraîne en autodidacte avant de se produire sur scène pour partager cette discipline originale, en constante évolution.

Jean-Christophe Charrié

Médecin généraliste et praticien de l’endobiogénie, il nous présente une voie de traitement médical différente, complémentaire mais trop peu connue et exploitée : les plantes.

NIO

Niô nous présente la capoeira un sport , une danse, une philosophie au service de la liberté.

Ludovic Leroux

Ludovic Leroux, coach sportif, quitte sa zone de confort pour réaliser ses projets. Il nous invite à douter de nos peurs plutôt que de douter de nos rêves.

Luke Archer

Luke Archer, formateur en communication, nous livre son approche de l’aïkido verbal et nous invite à mettre de l’harmonie dans nos relations.

Guillaume de Salvert

Guillaume de Salvert, fils de l’aristocratie française, a choisi de quitter son habitat traditionnel, le château, pour vivre dans une yourte. Il s’interroge et nous interroge sur le sens que nous donnons à notre lieu de vie.

Stéphanie Alran

Stéphanie Alran a 8 huit ans lorsqu’elle se pose une question existentielle. Absolument rien ne pouvait la préparer à cela, mais pourtant, c’est plus fort qu’elle. Sans aucune expérience de navigation, elle ne peut résister à cette petite voix intérieure qui l’invite à prendre le large.

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